Où sont les gais rires d’antan
Brisant l’acier des vents d’autan
Où sont les yeux qui savent rire
Quand la bouche ne veut plus dire
Où sont les joues au toucher doux
Se donnant tout aux sucrées d’août
Où sont les sons mis dans l’oreille
Par l'air chantant charmant la treille
Où sont les fronts de soleil blonds
Attirant les taons les frelons
Où sont les cous tendus vers l’une
Des étoiles veillant la lune
Où sont où sont les rêves bleus
Emplissant les cœurs quand il pleut
Où sont les joies du passé simple
Plaisant tant aux dieux de l’Olympe ?
Brisant l’acier des vents d’autan
Où sont les yeux qui savent rire
Quand la bouche ne veut plus dire
Où sont les joues au toucher doux
Se donnant tout aux sucrées d’août
Où sont les sons mis dans l’oreille
Par l'air chantant charmant la treille
Où sont les fronts de soleil blonds
Attirant les taons les frelons
Où sont les cous tendus vers l’une
Des étoiles veillant la lune
Où sont où sont les rêves bleus
Emplissant les cœurs quand il pleut
Où sont les joies du passé simple
Plaisant tant aux dieux de l’Olympe ?